Photo: Lonnie Timmons III / Plain Dealer Reporter
Si vous prenez votre eau de votre puits privé, priez pour que les activités gazières ne viennent jamais fracturer près de chez vous. Si votre puits se gâte, bonne chance pour recevoir compensation de la perte d'usage de votre puits!
Voici une traduction libre d'un article qui décrit un peu ce qu'un couple de l'Ohio doit endurer.
Trois ans après les forages, le fédéral dit que le gaz naturel dans le puits d'eau potable de Medina County peut potentiellement exploser.
Une agence fédérale de santé publique dit que des concentrations assez élevées de gaz naturel se retrouvent dans 2 maisons dans la partie est de Medina County pourraient sauter et sont une menace à la santé publique. Le problème semblerait être que les deux puits d'eau potable seraient reliés aux forages de 2 puits de gaz naturel fait en 2008, selon l'agence Agency for Toxic Substances and Disease Registry, un bureau qui travaille sous la bannière du U.S. Centers for Disease Control and Prevention (CDC).
Cette nouvelle contredit les communiqués du Ohio Department of Natural Resources qui répètent leur version des liens entre les forages et les problèmes aux 2 maisons à l'intersection des routes State et Remsen.
"Nous sommes des victimes de la fracturation...et de forages gaziers qui ont mal tournés." dit Mark Mangan, l'un des propriétaires lésés.
Le 28 septembre 2008, Mangan et son épouse Sandy ont constaté que leur puits d'eau potable s'était tari au même moment qu'une compagnie forait pour du gaz à Allardale Park, à environ un demi mille de chez eux. Quand l'eau est revenue au puits des Mangan 5 jours plus tard, l'eau avait un drôle de goût et sentait les oeufs pourris. Elle était salée. Elle faisait des bulles. Elle contenait du méthane et une boue cimenteuse. Les Mangan pouvait allumer les bulles de gaz dans l'eau qui sortait de leur robinet de cuisine, tout comme dans Gasland. "Oui, notre eau est revenue, mais ce n'était pas notre eau." dit Mangan, 49 ans. "Notre eau était partie."
Leurs voisins William et Stephanie Boggs ont eu des problèmes de puits très semblables qui ont commencé une journée plus tard que les Mangan. Ils ont dit aux autorités fédérales qu'ils continuent d'utiliser leur eau de puits.
Le cas de Granger Township est l'un des cas peu nombreux mais grandissant aux États-Unis où des problèmes de contamination ont été liés aux forages gaziers par l'agence fédérale.
Dans une lettre adressée à l'EPA des États-Unis datée du 22 décembre, l'agence CDC écrivait que les 2 familles sont toujours en danger à cause des niveaux potentiellement dangereux de gaz naturel. L'agence termine en disant que les conditions actuelles sont probablement une menace à la santé publique. L'agence s'est penché sur les niveaux de gaz naturel détectés au mois de novembre passé par les pompiers Granger Township Fire Department. Le niveau d'explosivité était 34,7% et 47,4% dans les puits des 2 maisons, selon l'agence. On estime que les conditions sont dangereuses quand les niveaux dépassent 10%, selon l'agence de santé publique. Les niveaux de gaz dans et autour de la maison des Mangan se sont avérés si élevés dans le passé que les pompiers ont été appelés plusieurs fois. Columbia Gas a coupé le gaz pendant un bout de temps à cause du danger d'explosion. "Nous sommes constamment en danger." dit Mangan. "Notre maison était une bombe prête à sauter." Il dit que le niveau d'explosivité à l'intérieur de la maison a monté jusqu'à 20%, bien au-delà de la norme fédérale tolérée de 1%.
Actions de redressement
L'agence de santé prévoit travailler avec le Department of Natural Resources, l'EPA et le Department of Health pour résoudre le problème.
Ces mesures seront:
- Natural Resources devra immédiatement fermer un ancien puits de gaz abandonné qui semble faire parti du problème.
- Travailler avec le Ohio Department of Health et les agences de santé locales pour ventiler les têtes de puits et les espaces clos dans les maisons où l'eau est consommée.
- Encourager Natural Resources ou les foreurs de faire des tests pour le gaz dans les 2 maison quand l'eau est consommée, comme pendant une douche et durant la lessive.
- Faire d'autres tests d'eau aux 2 maison et une autre résidence près du vieux puits qui fuit, ainsi que faire un sondage auprès des autres maisons avoisinantes.
L'agence de la santé dit qu'elle prévoit rencontrer des fonctionnaires de l'agence de l'Ohio bientôt afin de discuter des données qui ont été remises aux Mangan et au Boggs au début de janvier.
Jeffrey McDonald, un porte-parole de l'EPA fédéral, écrivait dans un courriel: "Nous pensons que Natural Resource doit continuer à surveiller ce dossier." L'intervention du fédéral a été révélé durant une conférence sur la santé et la sécurité aux forages à Alexandria, en Virginie, le 9 janvier. Vikas Kapil, chef médical de la santé au National Center for Environemental Health, sous le CDC fédéral, disait dans sa présentation que son agence avait fait enquête sur les niveaux de gaz et les problèmes de forages dans Medina County. Il avait dit aux journalistes qu'il n'avait pas l'autorisation d'en dire plus.
Des problèmes de cimentation remarqués.
Les 2 puits dans Allardale Park avait été forés par Wildcat Drilling LLC, contracteurs pour Ohio Valley Energy de Austintown. Le parc du comté est à l'est de la résidence des Mangan et près de la frontière avec Bath Township. Les puits, environs séparés de 1,500 pieds de distance, ont été forés à une profondeur de 3,700 pieds et cimentés à l'extérieur pour protéger l'environnement au moment que les problèmes des Mangan on fait surface. Les puits verticaux ont ensuite été fracturés.
L'agence de santé fédérale avait noté: "Les problèmes de cimentation des coffrages des puits ont été enregistrés dans les registres de forages soumis à l'ODNR, indiquant qu'il y avait eu une perte considérable de ciment en quelque part dans la formation qui avait été forée."
Ohio Valley Energy avait fait la page une en 2007 après qu'une maison ait explosée, à l'est de Cleveland dans Geauga County. Une défectuosité dans les coffrages d'un puits avait provoqué une migration de méthane au travers l'aquifère et dans les puits d'eau potable. Une maison a sauté et 19 autres ont été évacuées. La compagnie disait que le problème avait été causé par une erreur de construction.
Au début, les Mangan et les Boggs auraient été dit par un enquêteur de l'état qu'ils étaient trop éloigné des forages. Un enquêteur aurait expliqué que le forage pourrait être responsable si leurs puits recommençaient à avoir de l'eau en dedans de 5 jours. Si cela ne se produisait pas, les forages n'avaient rien à y voir, on leur aurait dit. Leur eau est revenue, mais avec une senteur, des couleurs inhabituelles et des gaz.
Les Mangans ont commencé à acheter de l'eau en bouteille pour boire. Au début, ils utilisaient l'eau de leur puits seulement pour les douches et les toilettes. Ils faisaient venir de l'eau par camion-citerne. Ils ont ajouté un filtre. Plus tard, ils ont pris une 2e hypothèque pour s'acheter une citerne de $15,000 pour stocker de l'eau potable. Leur puits a moins d'eau qu'auparavant. La production a baissé de 30 gallons la minute à 2 ou 3 gallons par minute. Mangan dit qu'il aimerait avoir des preuves de la qualité de l'eau de son puits de 245 pieds avant les forages de 2008, mais il n'avait jamais senti le besoin de faire faire des tests. Les Mangan sont toujours fâchés pour ce qu'ils perçoivent être le manque d'aide de l'agence de l'état. "Le département des ressources naturelles de l'Ohio n'a rien fait pour nous. Ils disent que la compagnie gazière n'a rien fait." dit Mark Mangan.
L'ODNR dit autre chose.
Natural Resources n'est pas d'accord pour dire que les forages locaux seraient responsables des problèmes du couple. Dans des lettres de 2009, l'agence dit qu'elle avait fait enquête après les plaintes des Mangan et n'a pas trouvé de preuves que les forages gaziers avoisinants étaient la source de leurs problèmes de puits.
En janvier 2009, la division Mineral Resources Management de l'agence de l'état avait envoyé une lettre de 4 pages au Mangan pour surtout écarter d'emblée leur plainte. Le géologue Ahmed Hawari disait qu'une courte sécheresse était responsable pour leur puits tari.
En mars 2009, un fonctionnaire dirigeant de l'agence a confirmé les conclusions de Hawari. Scott Kell, l'assistant-chef d'alors, avait indiqué que la contamination aux sels venait probablement des sels de déglaçage des routes, pas des déchêts de forages.
En octobre 2009, l'agence de l'état rapportait qu'une nouvelle source de contamination avait été découverte: un puits abandonné tout près.
L'état avait descendu une caméra vidéo dans le puits d'eau potable des Mangan et a découvert la présence d'un puits de gaz du voisin qui fuyait dans l'aquifère des Mangan, selon le porte-parole de l'état Tom Tomastik dans une lettre. Aucune action n'a été faite pour sceller à nouvau ce puits qui avait été scellé en 1966 parce que le propriétaire terrien avant refusé sa permission, selon les fonctionnaires.
Entre-temps, les autorités disent qu'il y aurait peut-être une autre source de gaz qui s'infiltre dans la source d'eau potable des Mangan à une profondeur de 196 pieds, mais qui n'a pas été identifiée.
Une famille stressée.
Cette épreuve est difficile à endurer pour Mark, un mécanicien et pompier volontaire, et Sandy, un agent d'immeuble. "Nous sommes très stressés." dit Sandy Mangan, 48 ans. "C'est çà qui est le pire. Nous ne sommes pas certains des effets que cela a eu sur notre santé. Nous devons vivre ici. Nous ne pouvons pas nous permettre d'abandonner tout çà." Son mari ajoute: "Nous avons mangé, vécu et dormi avec çà pendant 3 ans. Cela impacte tout ce que nous faisons. Çà nous mange en dedans."
La dispute qui mijote depuis si longtemps aboutira probablement en cour encore une fois. Les Mangan et les Boggs avaient entamé un procès en 2010 à la cour de Medina County Common Pleas Court, mais le procès a été retiré plus tard. Il pourra être représenté avant la date limite de mars. Les Mangan disent qu'ils ont aussi contacté plusieurs agences fédérales et de l'état pour faire faire une enquête sur les actions de Natural Resources (l'équivalent du Ministère des Ressources Naturelles en Ohio). Parmi les agences contactées: le FBI, l'EPA fédéral et le bureau de l'Inspecteur général de l'Ohio.
L'EPA a vu à ce que l'agence fédérale de la santé s'implique. Les porte-paroles des 2 autres agences disent qu'ils ne peuvent pas faire de commentaires au cas où une enquête soit lancée.
Mark Mangan dit qu'il ne se sent pas exonéré par les données trouvées par l'agence fédérale de la santé.
"Je suis un peu pit-bull et je ne lâcherai pas." dit-il. "Je ne veux que justice, maintenant. À cause de tout ce que nous avons vécu, je ne crois pas que l'ODNR soit capable, ou même soit intéressé, à protéger les gens de l'Ohio. Ses seuls intérêts sont d'aider et de protéger les foreurs. Et çà, ce n'est pas correct."Photo: thesocialsilo.com
"Three years after drilling, feds say natural gas in Medina County well water is potentially explosive
A federal health agency says potentially explosive levels of natural gas at two houses in eastern Medina County are a public health threat. The problems in the two drinking water wells appear linked to the nearby drilling of two natural gas wells in 2008, says the Agency for Toxic Substances and Disease Registry, part of the U.S. Centers for Disease Control and Prevention.
That news contradicts repeated statements from the Ohio Department of Natural Resources on the connection between the drilling and problems at the two houses at State and Remsen roads.
“We are the victims of fracking… and natural gas drilling gone wrong,” said Mark Mangan, one of the affected homeowners.
On Sept. 29, 2008, Mangan and wife, Sandy, found that their drinking water well had gone dry at the same time that a company was drilling for natural gas at Allardale Park about a half mile away. When the water returned to the Mangans’ well in five days, it had an unpleasant taste and a rotten-egg scent. It was salty. It bubbled. It contained methane gas and a gray slurry of cement. The Mangans could ignite the gas bubbles in the water from their kitchen sink, similar to what happened in the anti-fracking documentary Gasland. “Yes, we got water back, but it wasn’t our water,” said the 49-year-old Mangan. “Our water was gone.”
Neighbors William and Stephanie Boggs had similar well problems that began one day after the Mangans’. They told federal officials they continue to use the well water.
The Granger Township case is one of a small but growing number of cases in the United States where contamination problems have been linked by a federal agency to natural gas drilling.
In a Dec. 22 letter to the U.S. EPA, the CDC agency said both families are still at risk from potentially dangerous natural gas levels. The agency concluded that “the current conditions are likely to pose a public health threat.” The agency looked at natural gas levels detected last November by the Granger Township Fire Department. The levels of explosivity were 34.7 and 47.4 percent at wells at the two houses, the agency said. Hazardous conditions exist when levels surpass 10 percent, the health agency said. The gas levels in and around the Mangans’ house have been so high that firefighters were called several times. Columbia Gas shut off service for a time because of the likelihood of an explosion. “We are constantly in danger,” Mangan said. “Our house was a bomb waiting to go off.” He said the explosivity levels inside the house have been as high as 20 percent, far above the federal guideline of 1 percent.
Corrective action
The healthy agency intends to work with the Department of Natural Resources, the Environmental Protection Agency and the Department of Health to address the problem.
Those steps include:
• Getting Natural Resources to immediately seal an older, abandoned natural gas well that also appears to be contributing to the problem.
• Working with the Ohio Department of Health and local health agencies to vent wellheads and enclosed space in the homes where water is used.
•Encouraging Natural Resources or the drillers to conduct gas tests in the two houses when water is in use, such as shower and laundry times.
• Conducting additional water testing at the two houses and a house near the older leaking well, and surveying other nearby homes.
The health agency said it intends to meet with Ohio agency officials soon to discuss the findings that were released to the Mangans and Boggses last week (second of January 2012).
Said U.S. EPA spokesman Jeffrey McDonald in an email: “We think their [Natural Resource’s] continued attention to this issue is still needed.” The federal involvement surfaced at a Jan. 9 health conference on drilling safety in Alexandria, Va. Vikas Kapil, chief medical officer at the National Center for Environmental Health, part of the federal CDC, said in a presentation that his agency has been investigating gas levels from drilling problems in Medina County. He told reporters he was not authorized to provide additional information.
Cement problems noted
The two Allardale Park gas wells were drilled by Wildcat Drilling LLC for Ohio Valley Energy, based in Austintown. The county park is east of the Mangans’ house and near the Bath Township border. The wells, about 1,500 feet apart, were being drilled to a depth of 3,700 feet and cemented on the outside for environmental protection at the time that the Mangans’ problems surfaced. The vertical wells were then fracked.
The federal health agency noted: “Problems in cementing the well casings were recorded in the drilling logs provided to ODNR, indicating the loss of a significant amount of cement somewhere in the drilled formation.”
Ohio Valley Energy drew headlines in 2007, after a house exploded east of Cleveland in Geauga County. A casing failure on a well resulted in explosive methane gas migrating through the aquifer and into drinking water wells. One house exploded and 19 others were evacuated. The company said the problem was caused by a construction error.
Initially, the Mangans and Boggses were reportedly told by a state investigator that they were too far away from the drilling.
An investigator explained that the drilling could be responsible if their wells produced water again within five days. If that didn’t happen, drilling was not involved, they said they were told. Their water returned, but with the smell, discoloration and gases.
The Mangans switched to bottled water for drinking. They initially used the well water only for showers and flushing. They hauled water via tank trucks. A filter was added. Later they took out a second mortgage to buy a $15,000 cistern to provide clean drinking water. Their well is also producing less water than it used to. Production dropped from 30 gallons a minute to two or three gallons a minute. Mangan said he wished he had evidence of the water quality from his 245-foot-deep well before the 2008 drilling, but he had never seen the need for such testing. The Mangans remain angry at what they perceive to be the lack of help from the state agency. “The Ohio Department of Natural Resources did nothing for us. They said the gas company did nothing,” Mark Mangan said.
ODNR says differently
Natural Resources disagrees that the local drilling was responsible for the couple’s problems. In 2009 letters, the agency said it had investigated the Mangans’ complaint and found “no evidence” that nearby drilling for natural gas had caused their well problems.
In January 2009, the state agency’s Division of Mineral Resources Management sent the Mangans a four-page letter that largely dismissed their complaint. Geologist Ahmed Hawari said a mild drought was responsible for the water loss from the’ well.
In March 2009, a top agency official upheld the Hawari’s conclusions. Scott Kell, then-deputy chief, indicated that the salt contamination probably came from road salt, not drilling wastes.
In October 2009, the state agency reported that a new source of contamination had been discovered: an abandoned well nearby.
The state had put a video camera down the Mangans’ water well and discovered evidence of a natural gas well on a neighbor’s property leaking into the Mangans’ aquifer, state spokesman Tom Tomastik said in a letter. No action has been taken to reseal that well, sealed once in 1966, because the landowner refused to grant permission, officials said.
Meanwhile, authorities said there may be another source of gas infiltrating the Mangans’ water supply at a depth of 196 feet, but it has not been identified.
Family is stressed
The ordeal has taken a toll on both Mark, a millwright and volunteer firefighter, and Sandy, a real-estate agent. “We’re very stressed,” said 48-year-old Sandy Mangan. “That’s the biggest thing. We’re not sure how this has affected our health. We have to live here. We can’t afford to walk away.” Her husband added: “We’ve eaten, lived and slept with this for three years. It affects everything you do. It just eats away at you.”
The long-simmering dispute is likely to end up in court again. The Mangans and Boggses sued in 2010 in Medina County Common Pleas Court, but the suit was later withdrawn. It may be filed again before a March deadline. The Mangans said they have also contacted federal and state agencies to investigate Natural Resources’ actions. The agencies include the Federal Bureau of Investigation, the U.S. Environmental Protection Agency and the Ohio Inspector General’s office.
The EPA got the federal health agency involved. Spokesmen for the two other agencies said they cannot comment about possible investigations.
Mark Mangan said he does not feel vindicated by the federal health agency’s findings.
“I’m something of a pit bull and I’m not giving up or letting go,” he said. “I just want justice now. Because of everything we’ve been through, I do not believe that ODNR is capable or even interested in protecting Ohioans. Its only interest is helping and protecting the drillers. And that’s wrong.”"
Article written by Bob Downing published here:http://www.ohio.com/news/local/three-years-after-drilling-feds-say-natural-gas-in-medina-county-well-water-is-potentially-explosive-1.255525
Photo: Jim Blecha Photography
Saturday, January 21, 2012
Gaz de schiste - la saga d'un puits d'eau potable contaminé en Ohio
Labels:
activisme,
agriculture,
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pollution
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