le 6 mai, problablement à la crête de la crue, les pancartes touchent l'eau:
Quelques mois plus tard, soit la fin août, le niveau de l'eau a baissé quelque peu (très peu, quand on regarde comme il faut), mais ce qui surprend, ce sont les amas de roches laissés derrière par le courant qui a érodé l'île en amont:
Un peu plus en amont, la lignes des hautes eaux avait semé une rangée d'arbres qui avaient commencé à élargir la plage, créant ce que j'appelais "le boulevard" pour les pêcheurs et touristes. Voici l'allée en question direction nord en mai 2009:
mais à la fin août de cette année, l'eau est encore tellement haute que le passage se ferait mieux en canot! Je ne sais pas si l'enseigne de Conservation de la Nature (sur l'arbre à gauche) est partie avec le courant ou si elle est toujours sous l'eau:
la même ligne d'arbres photographiée en avril 2010 direction sud (c'est un castor qui a coupé l'arbre durant l'hiver):
et le même endroit à la fin août 2011:
J'ai réussi à faire cesser (pour le moment) le fauchage sur la propriété de Conservation de la Nature comme cela s'est fait ici en septembre 2009 (par un contracteur payé par la municipalité de Richelieu!):
voici ce qui recommence à pousser à la fin août 2011:
Le 6 mai, la crue donnait un paysage chaotique, la pointe de l'Île Saint-Jean mise à rude épreuve:
fin août, une image un peu plus calme
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