Photo: davidsuzuki.orgJ'ai regardé "Force of Nature", un film de et sur David Suzuki, dimanche soir à la télé. Pour quelqu'un comme moi qui s'est toujours sentie très proche de la nature, qui a grandi sur les bords d'une rivière, qui a comme meilleurs souvenirs de son enfance les baignades dans le courant de l'eau, qui a regardé dès le début pratiquement toutes les émissions de "Nature of Things", ce film m'a beaucoup touchée et est venu me chercher. Plus humain que çà, tu meurs!
On a beau justifier notre militantisme, notre activisme en environnement avec toutes les preuves scientifiques du monde, tous les rapports d'experts, des résultats en labo et des statistiques, l'amour de la nature et les préoccupations environnementales sont toujours une affaire d'élans du cœur, du ventre, un attachement utérin, quoi!
Pour mes amis unilingues français, j'espère que ce film sera traduit bientôt!
Entre-temps, vous pouvez quand même apprécier les images touchantes, impressionnantes, émouvantes, choquantes mêmes, du film dans sa version originale.
Lien: http://www.davidsuzuki.org/what-you-can-do/force-of-nature-the-david-suzuki-movie/
et ici; http://tiff.net/filmsandschedules/tiff/2010/forceofnaturethedavi
Photo: filmaffinity.comSunday night, I watched "Force of Nature", a David Suzuki movie, on TV. For someone like me who feels very close to nature, that grew up by a river and whose most cherished memories are of swimming in the quick current and that watched "The Nature of Things" from the very start, this was quite a treat! This movie really moved me. Suzuki shows his best side in this movie: he is human, like all of us.
Protecting the environment by arguing all the best scientific data, quoting reports from panels of experts and statistics is all fine and dandy. But deep down, the love of wilderness and environmental preoccupations have their roots in our soul, our heart, our guts.
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Photo: greentimes.com.au
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