Friends of the Richelieu. A river. A passion.



"Tout cedit pays est fort uny, remply de forests, vignes & noyers. Aucuns Chrestiens n'estoient encores parvenus jusques en cedit lieu, que nous, qui eusmes assez de peine à monter le riviere à la rame. " Samuel de Champlain


"All this region is very level and full of forests, vines and butternut trees. No Christian has ever visited this land and we had all the misery of the world trying to paddle the river upstream." Samuel de Champlain

Saturday, March 5, 2011

Nucléaire - Vermont Yankee contamine toujours




Au Québec, on sait que Gentilly II laisse échapper de la contamination radioactive dans l'environnement, mais cela fait rarement les journaux. C'est dommage, car c'est une source de pollution qui est là pour rester longtemps, et aura des répercussions à long terme pour les Québécois. Par contre, aux États-Unis, les informations sur le sujet sont un peu plus facile d'accès, et font régulièrement les journaux. C'est pourquoi je suis particulièrement de près les centrales nucléaires au sud de notre frontière. Voici la suite de l'histoire de l'une d'elles.

Pendant un appel-conférence avec des employés de Vermont Yankee durant la 3e semaine de février 2011, l'origine de contamination de l'eau souterraine est toujours inconnue. Des tests de pression et des examens de boroscope ont été complétés sur 2 des 5 lignes souterraines autour du bâtiment RAD Waste Building à la centrale nucléaire Vermont Yankee à Vernon, selon Neil Sheehan, le porte-parole du Nuclear Regulatory Commission.

Les lignes de décharge de la pompe de l'usine (stack sump) et la ligne du drain Augmented Off-gas Delay ont aussi été vérifiés, ajoute-t-il. L'une des possibilités de la source de contamination serait un phénomène appelé "rainout". M. Sheehan explique que le terme "rainout" est utilisé quand une fuite aérienne de tritium venant de la centrale, habituellement de la cheminée de la centrale, arrive en même temps qu'une pluie.

"Le tritium peut alors se fixer sur les bâtiments de la centrale ou sur le sol, et les pluies subséquentes peuvent alors délaver cette contamination dans l'eau souterraine sous le site." a-t-il écrit dans un courriel. "Quand nous observons des fluctuations dans la contamination de l'eau souterraine, surtout à des faibles niveaux mesurés en GZ-24S."

Le dernier spécimen prélevé du puits mesurait 1,000 picocuries de tritium par litre, à comparé avec 8,139 le 26 janvier, écrit Sheehan.

Bill Irwin, le chef d'état en santé radiologique, dit que le "rainout" peut aussi impacter le système d'égouts de la centrale, mais que toutes les bouches d'égout (manholes) n'avait des traces de tritium. La vraie question, selon Irwin, est : pourquoi est-ce que les niveaux baissent depuis le début de l'année? On ne comprend toujours pas pourquoi il y a une fuite mais il y a plusieurs scénarios envisagés et sous enquête, dit Irwin.

Plus de 320,000 gallons ont été pompés des puits de monitorage, 12,800 gallons depuis janvier, selon les écrits de M. Sheehan.

Le directeur des communications de Vermont Yankee, Larry Smith dit que le "rainout" est mesuré à la trace par les techniciens de l'usine et les 3 autres lignes souterraines seront testés ce mois-ci.
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
"Source of VY tritium elusive

During a conference call with Vermont Yankee staff last week regarding the ongoing groundwater contamination investigation at the plant, technicians said the source is still unknown.

Pressure tests and boroscope exams have been completed on two of five underground lines in the vicinity of the RAD Waste Building at the Vermont Yankee nuclear plant in Vernon, according to Nuclear Regulatory Commission spokesman Neil Sheehan.

The plant stack sump discharge line and the Augmented Off-gas Delay Pipe Drain Line have also been checked, he said.

One possibility of the source could be a phenomenon called rainout.

Sheehan said rainout refers to what happens when an airborne release of tritium is occurring from the plant, typically via the plant stack, at the same time there is precipitation.

"The tritium can be deposited on plant buildings or the ground and subsequent rainfall can then wash that contamination into the groundwater at the site," he wrote in an e-mail. "When we are seeing fluctuations in groundwater contamination, particularly at the low levels being measured in GZ-24S."

The latest well sample showed 1,000 picocuries per liter of tritium, down from 8,139 on Jan. 26, Sheehan wrote.

Bill Irwin, the state’s chief of radiological health, said rainout can also affect the plant’s sewer system but that all manholes at the plant showed no signs of tritium.

The real question, Irwin said, is "why the levels have been going down fairly steadily since the beginning of this year."

There’s still no understanding why the leak is happening but there is a plethora of options that are being investigated, Irwin said.

More than 320,000 gallons have been extracted from monitoring wells, 12,800 gallons since January, Sheehan wrote.

Vermont Yankee’s manager of communication, Larry Smith, said rainout is something the plant technicians are monitoring and testing of the three other underground lines is planned for this month."

Excerpts of article written by Josh Stilts published here; http://www.reformer.com/localnews/ci_17456040

No comments:

Post a Comment